100 ans à innover
Au cours de son siècle d’existence, la MFS Investment Management a amené plusieurs innovations dans le marché. On dit aussi d’elle qu’elle a largement contribué à démocratiser l’investissement.
Au cours de son siècle d’existence, la MFS Investment Management a amené plusieurs innovations dans le marché. On dit aussi d’elle qu’elle a largement contribué à démocratiser l’investissement.
1er fonds commun de placement aux États-Unis
En 1924, la MFS a créé le premier fonds commun de placement aux États-Unis. Un concept révolutionnaire pour l’époque. Auparavant, les actions étaient réservées aux plus fortunés. S’en procurer coûtait très cher. À cette époque, le salaire moyen d’une personne ne lui suffisait pas à acquérir la part d’une société. Ces actions étaient aussi difficiles à vendre, car il fallait soi-même trouver quelqu’un pour les acheter. L’arrivée des fonds communs de placement a résolu ces difficultés. Et a permis à des millions d’Américains d’accéder aux marchés financiers en leur permettant d’investir dans un éventail varié de sociétés.
Naissance d’un service de recherche interne
La MFS a aussi été l’une des premières sociétés de placement à établir un service de recherche interne. En 1932, elle a mis en place son premier comité consultatif. Son but était d’acquérir une connaissance approfondie des titres qu’elle possédait. Ce travail d’équipe consistait à examiner les états financiers des sociétés et les bulletins du marché, en plus de réaliser des visites analytiques de l’entreprise.
Encore aujourd’hui, cet état d’esprit anime la MFS. Elle a fait de l’expertise collective un des trois piliers de son processus de placement. La MFS continue d’analyser attentivement les entreprises, peu importe le marché dans lequel elles opèrent ou leur emplacement. Les professionnels en placement de la MFS rencontrent les hauts dirigeants pour élaguer toute incertitude. Ils le font aussi pour clarifier leur analyse de placement à long terme. « Collaborer et mettre en perspective tous les renseignements de nos analyses sont les meilleurs moyens de réduire les erreurs. C’est aussi une bonne façon de mitiger le risque des placements », dit Carol Geremia, présidente et cheffe de la distribution mondiale de la MFS Investment Management.
Pionnière de la gestion active
Comme elle multiplie les recherches sur les sociétés dans lesquelles elle investit, la MFS a rapidement adopté la gestion active du risque comme second pilier de son approche de placement. En revanche, là où elle a innové, c’est en gestion active des obligations. Avant les années 1970, la gestion active des obligations n’était pas une pratique à la mode. Il n’y avait donc pas d’équipe attitrée, seulement quelques spécialistes à gauche et à droite.
Néanmoins, la MFS en faisait déjà une spécialité, ayant lancé en 1970 son premier fonds équilibré aux États-Unis. Cela a permis aux investisseurs de tirer parti des avantages d’une combinaison d’actions et d’obligations.
Puis, la MFS a mis en place un service consacré à la gestion active des titres à revenu fixe. Au lieu de rester enfermés dans leurs bureaux, les professionnels de la MFS sont partis à la rencontre des investisseurs institutionnels. Ce n’était pas une pratique courante à l’époque. Cette approche novatrice a fait de la MFS une pionnière en gestion active des titres à revenu fixe.
En 1980, la MFS a lancé le premier fonds d’obligations mondiales de l’industrie aux États-Unis. On lui doit aussi le premier fonds d’obligations municipales à haut rendement à capital fixe, lancé à la Bourse de New York. Aujourd’hui, les capacités de la MFS en titres à revenu fixe couvrent plusieurs catégories, dont les obligations canadiennes et mondiales.
Discipline à long terme
Au fil des ans, la MFS a peaufiné son approche de placement. La discipline à long terme, troisième pilier de son processus de placement, lui a permis d’affronter toutes les conditions de marché observées. Elle a tout d’abord résisté au grand krach de 1929. Durant ce qui a été la pire crise économique mondiale, la MFS a continué de verser des dividendes aux investisseurs. Plus récemment, l’éclatement de la bulle Internet en 2000 et la Grande Récession de 2007 lui ont permis de renforcer son approche à long terme.
« La plus grande faiblesse de notre industrie aujourd’hui est la mesure du succès à court terme », dit Carol Geremia. C’est pourquoi lorsque la MFS investit dans une société, elle le fait dans une perspective à long terme. Pour preuve, elle a détenu certains titres de sociétés pendant plus de 90 ans.
Fonds MFS Sun Life
L’histoire de la MFS s’allie parfaitement avec celle de la Sun Life, riche de 159 années. Les deux sociétés ont multiplié les innovations et ont à cœur de mettre le client au cœur de leurs préoccupations. En 1982, la Financière Sun Life a fait l’acquisition de la MFS, ce qui lui a permis d’établir ses assises en gestion de patrimoine. En 2010, la MFS a contribué au lancement de Placements mondiaux Sun Life comme sous-conseiller pour ses fonds communs de placement. Aujourd’hui, Placements mondiaux Sun Life offre 15 fonds communs de placement sous-conseillés par la MFS et une gamme de fonds distincts.
Pour en savoir plus sur les Fonds MFS Sun Life, visitez cette page.
1MFS Investment Management Canada Limited est le sous-conseiller des Fonds MFS de la Sun Life; SLGI Asset Management Inc. est le gestionnaire de portefeuille inscrit. MFS Investment Management Canada Limited consulte la MFS Institutional Advisors, Inc. pour obtenir des services additionnels de sous-conseiller.
Les points de vue exprimés sur des sociétés, des titres, des industries ou des secteurs de marché particuliers ne doivent pas être considérés comme une indication d’intention de négociation à l’égard de tout fonds commun de placement géré par Gestion d’actifs PMSL inc. ou dont le sous-conseiller est MFS Investment Management. Ils peuvent changer à tout moment et ne doivent pas être considérés comme un conseil en placement ni une recommandation d’achat ou de vente.
Les renseignements fournis ne tiennent pas lieu de conseils en placement. Lorsqu’ils planifient d’adopter une stratégie de placement, les investisseurs doivent consulter leur propre conseiller pour obtenir des conseils en matière de placement ou de fiscalité qui sont adaptés à leurs besoins. Ils s’assurent ainsi que leur situation personnelle a bien été prise en compte et que les décisions seront adoptées en fonction des renseignements les plus récents.